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Pour ce troisième épisode, nous recevons Billie-Lou: artiste visuel.le queer en situation de handicap qui prône l’inclusion. Nous échangeons sur les enjeux de performance dans la sexualité et l’estime de soi.Bonne écoute!RessourcesInstagram : @billielouwhoFQPN : Facebook / Instagram / site web Les 3 sex* : Facebook / Instagram / site webSourcesHannier, S., Baltus, A. et de Sutter, P. (2017). L’implication des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux dans la compréhension de l’estime de soi sexuelle féminine. Sexologies, 26(2), 65-73. https://doi.org/10.1016/j.sexol.2016.04.004Toft, A. (2020). Identity Management and Community Belonging: The Coming Out Careers of Young Disabled LGBT+ Persons. Sexuality & Culture, 24(6), 1893-1912. https://doi.org/10.1007/s12119-020-09726-4
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Au cours des dernières années, le dossier de la diversité liée au sexe, au genre et à l’orientation sexuelle a évolué à un rythme très rapide, tant en matière de droit que sur le plan du vocabulaire utilisé pour en illustrer les différentes facettes. Ainsi, l’acronyme bien connu LGBT s’allonge peu à peu continue à se construire. C’est dans ce contexte qu’il nous est apparu important de produire cet outil afin d’informer nos membres et de les sensibiliser à ces nouvelles réalités.
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Pour cet épisode enregistré lors de la Foire féministe de l'IREF, nous nous penchons sur la question des savoirs et des pratiques féministes : comment reconnaître la richesse des différentes formes de savoirs ? Comment faire dialoguer les savoirs théoriques et les savoirs pratiques ? On explore comment la combinaison des différentes formes de savoirs peut finalement soutenir les luttes féministes et viser la transformation sociale. Avec: Rosemarie Fournier-Guillemette , Marie-Soleil Chrétien, Mylène Bigaouette, Jeanne et Ariane (Centre de solidarité Lesbien), Alexia de C'est pas notre genre, Reem al botmeh Épisode enregistré durant la Foire féministe de l'IREF (27, 28 février et 1er mars 2025 - https://sites.grenadine.uqam.ca/sites/dsj/fr/foire-feministe-feministes-dans-la-cite) . Monté et écrit par Juliette Chevet. Avec le soutien financier du CRSH.
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Le présent article cherche donc à mettre de l’avant que l’opposition entre queers et radicales relève davantage de conflits politiques locaux qu’elle n’est liée aux théories elles-mêmes. En effet, il s’est développé dans les dernières années une approche matérialiste queer qui rapproche grandement les deux positions au-delà de leur lutte pour s’établir comme sujet politique légitime du féminisme. Ce matérialisme queer propose d’autres possibilités que l’éternelle tension entre pro-sexe et anti-sexe, division provenant des feminist sex wars des années 1980. C’est pour cette raison que j’aimerais mettre de l’avant des travaux d’intellectuels-les qui utilisent cette approche du matérialisme queer pour relire des objets d’étude au cœur du litige des feminist sex wars, soit la pornographie et le BDSM, et montrer par là que les positions queer, loin de faire l’apologie inconditionnelle de ces manifestations, intègrent diverses dimensions critiques face à celles-ci.
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«Féminin» ou «masculin». Dès la naissance, il faut choisir. Sur les papiers d’identité, les formulaires d’inscription, les bulletins d’adhésion, il y a toujours ces deux petites cases à cocher. Comme si le monde se divisait en deux catégories, les hommes et les femmes. C’est oublier que le genre est une fiction, un discours biopolitique. C’est oublier, aussi, que l’identité n’est jamais une essence mais une construction. D’où vient cette binarité du genre ? Pourquoi la citoyenneté n’est réservée qu’aux personnes cisgenres ? Comment déconstruire ce rapport normatif entre sexe, genre et reproduction ? Pour dépasser cette dichotomie de genre, Victoire Tuaillon reçoit Paul B. Preciado, philosophe, commissaire d’exposition et auteur dans un grand entretien en deux épisodes.