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Résultats 8 ressources
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« Émergence insoumise s'ouvre sur un souvenir de l'autrice qui attend un taxi après un colloque : « Non, mais croyez-vous vraiment que moi, une femme des Premières Nations, je vais aller attendre seule le soir, à Val-d'Or? » Ces mots, adressés au gardien qui lui indique que les portes de l'université sont sur le point de fermer, seront le catalyseur d'une réflexion sur le sort réservé aux femmes autochtones, aussi bien dans le milieu carcéral que dans la société canadienne en général. Alternant entre les réminiscences personnelles et les analyses du racisme systémique afin d'aller au-delà des statistiques et des préjugés, cet essai de Cyndy Wylde s'inscrit dans une tradition de littérature de combat, qui bouscule les idées reçues et dynamite le confort et l'indifférence. »
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Le MOOC Ohtehra’, l’art autochtone aujourd’hui vous fera découvrir la vitalité de l’art et de la culture des Premiers Peuples à travers les œuvres des collections du Musée des beaux-arts de Montréal. Plus d’une vingtaine de personnalités autochtones (artistes, historiens et historiennes de l’art, conservateurs et conservatrices de musée) vous expliqueront en quoi l’art autochtone d’aujourd’hui dialogue avec les grands courants de l’art moderne et contemporain, mais s’en distingue aussi sur des points essentiels. Ils vous parleront également des lois coloniales qui ont cherché à éradiquer leur culture et la façon dont ils ont résisté, artistiquement et politiquement, à cette assimilation forcée. Ce cours vous offre un regard unique sur l’art et la culture autochtone d’aujourd’hui, celui des Autochtones eux-mêmes.
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"La politique internationale est un monde d'hommes », disait en 1988 la féministe étatsunienne Ann Tickner, théoricienne des relations internationales. Il semble que cette constatation soit toujours d'actualité quelque trente années plus tard. Dès la création de la première chaire de recherche dans ce domaine, en 1919, c'est une vision masculine et occidentale du monde qui a prédominé. Les choses sont en train de changer, lentement, avec la place de plus en plus grande que prennent divers groupes de femmes au sein des facultés universitaires et des instances de pouvoir, et ce, partout dans le monde.Cet ouvrage au pari ambitieux - relevé avec brio - présente la variété et la richesse méthodologique et théorique des perspectives féministes sur les relations internationales, qui déconstruisent un certain récit conservateur de la discipline et offrent une vision approfondie des débats internationaux. Vingt-neuf chercheuses et deux chercheurs d'une douzaine de pays, associés à une vingtaine d'institutions, proposent des contributions sur la gouvernance mondiale, l'économie politique, la sécurité internationale et les mouvements transnationaux dans leur imbrication avec le genre, l'hétéronormativité, le racisme systémique, le colonialisme, les enjeux autochtones ou l'immigration."-- Fourni par l'éditeur.
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We come together on the 10th anniversary of our last day in Palestine, hundreds of presentations, articles, panels, and interventions later, to offer our Report Card reaffirming the relevance and urgency of re-telling stories of apartheid, ethnic cleansing, and settler colonialism and of Palestinian steadfastness, resistance and resilience. SPEAKERS: Dr. Angela Davis Dr. Anna Guevarra Dr. Barbara Ransby Dr. Beverly Guy-Sheftall Dr. Chandra Talpade Mohanty Dr. Gina Dent Dr. G. Melissa Garcia Dr. Rabab Abdulhadi Dr. Waziyatawin Co-sponsored by Arab and Muslim Ethnicities and Diaspora Studies
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Les rapports sociaux de race, de genre, de sexe sont inextricablement mêlés : telle est une idée centrale du féminisme décolonial tel qu’il se déploie depuis Abya Yala, du nom que le peuple kuna donnait au continent américain. L’article situe l’importance de renommer les femmes et féministes d’origine autochtone, une manière de défaire les discours coloniaux (parfois tenus par des universitaires féministes) sur les pratiques de genre avant la colonialité/modernité. Ochy Curiel illustre cette idée à partir de l’expérience du GLEFAS (Groupe latino-américain de formation et d’action féministe) : le décolonial n’y est pas seulement une critique du savoir académique, il est profondément ancré dans des pratiques autogestionnaires de luttes anticapitalistes, dans le lesbianisme politique, dans la rue, dans les associations, dans les organisations communautaires.
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« Les préjugés négatifs à l'encontre des autochtones existent et sont ancrés depuis longtemps dans la mémoire collective. Consciemment ou non, beaucoup croient encore que les autochtones sont trop revendicateurs, dépendants, profiteurs ou vivant de l’aide sociale, par exemple. Ce livret démystifie dix préjugés parmi les plus souvent entendus autour des autochtones. »-- Amnistie.ca.
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''To the colonized, the term 'research' is conflated with European colonialism; the ways in which academic research has been implicated in the throes of imperialism remains a painful memory.This essential volume explores intersections of imperialism and research - specifically, the ways in which imperialism is embedded in disciplines of knowledge and tradition as 'regimes of truth.' Concepts such as 'discovery' and 'claiming' are discussed and an argument presented that the decolonization of research methods will help to reclaim control over indigenous ways of knowing and being.Now in its eagerly awaited third edition, this bestselling book includes a co-written introduction features contributions from indigenous scholars on the book's continued relevance to current research. It also features a chapter with twenty-five indigenous projects and a collection of poetry.''-- Site de l'éditeur.