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Les petits et grands moments de la vie et de la carrière de l'artiste.
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Elle a fait de la déraison un art, du délire un moyen d'expression. Depuis ses débuts, elle heurte, elle choque... Pas gratuitement, pour le plaisir, pour la joie de faire sursauter les autres. Mais parce que c'est ainsi que jaillit l'étincelle. Folle sublime, de la chanson elle a aboli les limites. Rien pour elle n'est interdit, ni le grotesque, ni le mélo. Actrice exceptionnelle, elle se coule dans les personnages qu'elle a dessinés pour elle, les rend vivants, émouvants. poignants... A son public subjugué elle crie : sois joli, sois autre, sors de toi-même, et ce public l'écoute, change à son contact, ose enfin aller plus loin. La France l'admire, le Québec la vénère, personne ne s'en étonne. N'est-elle pas en cette fin de siècle la seule star de la chanson de langue française ?
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Talented Emma Albani was a favourite of Queen Victoria, singing at Victoria's funeral as well as Edward VII's coronation, and for many other heads of state from Russia, Austria, France, Italy, Belgium, Denmark, United States and Canada. Sir Arthur Sullivan, Gounod, Von Flotow and Dvorak wrotemusic for her and she sang with Nellie Melba, Adelina Patti, Jean de Reszke, Francesco Tamagno among others. Emma, who married Ernest Gye, manager of Covent Garden, was celebrated as one of the leading operatic and oratorio sopranos of the century. Emma (Lajeunesse) Albani, one of Canada's first internationally known performers, began as a student singing in a Chambly, Quebec convent and an Albany, New York church. From her opera debut in April 1870 in Sicily to her farewell concert in October 1911 in London, England, she was loved for her voice as well as her kindness, which was rare in a prima donna. She was adored by fans world-wide as George Bernard Shaw recorded in 1889," ... people were standing two and three deep behind the chairs ..., consisting of prima donna worshippers who are bent on obtaining a bird's eye view of Madam Albani.
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Femme aux milles visages, aussi excentrique que Boy George, Diane Dufresne est devenue en quelques années une véritable superstar qui compte des milliers d'admirateurs. Ce livre passionnant raconte sa vie: son enfance difficile, ses débuts de chanteuse, ses voyages, ses amours et son ascension fulgurante vers la gloire.
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La parution d'un recueil consacré tout entier au répertoire d'une chanson traditionnelle constitue une première dans l'édition de la chanson populaire d'ici. Doanld Deschênes nous présente quatre-vingt-dix des plus belles chansons de la gaspésienne Angelina Paradis-Fraser, venant de la mémoire des temps. Les lecteurs dégusteront toute l'atmosphère chaude et accueillante dont ces chansons ont pu s'imprégner, avec un petit arrière-goût de golfe et de sapin et le mûrissement que trois cents ans en sol québécois et acadien ont pu leur conférer.
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Dans « Né homme, comment je suis devenu femme », vous découvrirez une des histoires les plus surprenantes du Show-business québécois, Sans fausse honte, avec une franchise que plusieurs trouveront choquante, le jeune prodige de la chanson, Jacques Bélanger, qui créa le phénoménal succès de « Maman, la plus belle du monde », raconte comment, il est devenu une femme véritable. À travers un récit émouvant, il relate sa jeunesse difficile, les débuts de sa carrière, ses aventures homosexuelles, ses expérience avec la drogue, et, enfin, le grand drame de sa vie : celui de se sentir femme, pleinement femme, mais d'être né dans un corps d'homme. Cet « accident de la nature », il finira par le corriger, à force de courage et de persévérance, envers et contre tous, par une série d'opérations chirurgicales dont il ne nous épargne aucun détail. La métamorphose une fois accomplie, Jacques Bélanger, devenu Brigitte Martel, a réalisé son plus grand rêve en épousant l'homme de sa vie.
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Dans son émouvante autoblographie, Alys Robi, la première véritable STAR du Québec, raconte, avec une sincérité boulever- sante, l'histoire prodigieuse de sa carrière. Une carrière qui débuta fort précocement alors qu'elle avait a peine quatre ans et qui lui permit rapidement de se hisser au rang des vedettes internationales à une époque où le "show business" quebécois en était encore à ses balbutiements. A vingt ans, en effet, déjà adulée, Alys Robi chante dans les plus grandes capitales du monde: Paris. Londres, Buenos Aires ... Hollywood lui ouvre ses portes. Elle vit comme une princesse, touche des cachets astronomiques, habite les plus grands hotels, recoit les célebrites du monde entier. Parallelement elle decouvre l'amour: une passion très tendre la lie au célèbre Olivier Guimond. Mais son livre ne raconte pas seulement les heures glorieuses, il évoque aussi les heures sombres. Les heures où ses plus beaux rêves s'effondrerent, où elle découvrit la précarité du succès, les désillusions de l'amour et de l'amitié, et surtout, le monde halluci- nant de la folie. Son livre lève en effet le voile sur une des périodes les plus sombres de sa vie: le cauchemar de cinq ans qu'elle vécut à Saint-Michel-Archange, parmi les aliénés. Un cauchemar au cours duquel sa fortune sera "mystérieusement" dilapidée et dont elle sortira marquée à jamais pour affronter une épreuve nouvelle: celle d'un mariage dont l'échec retentissant l'ébranlera à nouveau. Dans, ma carrière et ma vie, ce n'est pas seulement le portrait émouvant d'une vie qui est tracé, c'est aussi celui de toute une époque, la 'belle époque" du "show business" québecois diront certains, celle, surtout, du fameux cabaret La Casa Loma où le Tout-Montreal se donnait rendez-vous.