Votre recherche
Résultats 12 ressources
-
C’est là un ouvrage de référence qui présente la recherche sur la musique, les genres et les sexualités, et plus largement la vie musicale non dominante au Québec depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Issu des travaux réalisés en 202-2022 par le pôle universitaire DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec (D!G), un réseau interdisciplinaire et intersectoriel qui réunit les chercheur·ses, publics, artistes et autres professionnel·les de la musique qui s’intéressent à cette thématique, l’ouvrage comprend une revue de la littérature et une bibliographie de plus de 800 ressources scientifiques.
-
Cette recherche examine comment des pratiques artistiques influencées par la culture Hip Hop se déroulant dans un studio d’enregistrement communautaire participent au développement personnel et social de jeunes Montréalais·e·s racialisé·e·s. Il est soutenu qu’en incarnant des principes et valeurs associées au Hip Hop, le studio canalise et stimule un cadre permettant aux jeunes l’exploration de leurs identités multiples et marginalisées ce qui s’accompagne d’une part, d’une prise de conscience et d’émancipation en mobilisant des éléments de la culture Hip Hop pour stimuler une croissance personnelle reposant sur la liberté créatrice. D’une autre part, cette communauté ouvre la porte à la création du sentiment d’appartenance pour les jeunes Montréalais·e·s racialisé·e·s reposant sur la constitution de fondations et réseaux alternatifs au sein de la communauté du studio, de la scène locale et mondiale du Hip Hop. Ce faisant, le studio engendre l’émergence de solidarités affinitaires lui conférant un rôle de carrefour et de point d’ancrage pour cette communauté.
-
Against a tense socio-political backdrop of white supremacy, intensifying pressures of neoliberal fiscal austerity, and queer necropolitics, this thesis addresses performance-based activist forms of place-making for urban-based queer, trans, and gender nonconforming communities of colour. Using participant observation and qualitative interviews with pioneering members of Montréal’s Kiki scene and Ottawa’s emerging Waacking community and interpreting my findings through the theoretical lens of queer of colour theory, critical whiteness studies, queer Latinx performance studies and Chicana feminism, I argue that Kiki subculture, which is maintained by pedagogical processes of ‘each one, teach one’, is instrumental in facilitating i) life-affirming queer kinship bonds, (ii) alternative ways to simultaneously embody and celebrate nonnormative gender expression with Black, Asian, and Latinx identity, iii) non-capitalist economies of sharing, and iv) hopeful strategies of everyday community activism and resilience to appropriative processes during economic insecurity and necropolitical turmoil.
-
Kim Sawchuk is a feminist media studies scholar and a founding member of Studio XX, a feminist-run new media arts collective based in Montreal. A professor in the Department of Communication Studies at Concordia University, she is the former editor of the Canadian Journal of Communication and co-editor of wi: journal of mobile media. Sawchuk’s work encompasses the roles of women in science and technology, as well as issues surrounding media technology access and use by women, elders, and immigrant communities. Her more recent research involves the use of mobile devices by older adults. During a Skype interview with guest editor Stephanie Tripp on March 22, 2013, Sawchuk discussed her collaboration in Studio XX, her research on women and technology, her work on mobile communications technologies, and her outlook on issues facing women working in new media today.
-
De la cuisine au studio explore les parcours de douze artistes issues de trois générations différentes : femmes signataires du manifeste Refus global en 1948, premières cinéastes qui ont œuvré à l’ONF dans les années 1970 et artistes médiatiques impliquées au Studio XX. À partir d’entrevues avec les artistes, Anna Lupien pose un regard sociologique sur l’expérience de créatrices qui ont investi l’art en tant qu’espace d’expression dans la sphère publique. De quelle façon ont-elles élaboré des stratégies créatives et par le fait même donné corps à des transformations sociales engendrées par le mouvement féministe, notamment en ce qui a trait à la conciliation travail-famille ? Comment ont-elles intégré des milieux artistiques qui ne leur étaient pas ouverts d’emblée ? Comment se sont-elles engagées pour le bien commun à travers leur parcours artistique ? Les histoires de ces artistes – Madeleine Arbour, Christine Brault, Mireille Dansereau, Dorothy Todd Hénaut, Stéphanie Lagueux, Bérengère Marin-Dubuard, Helena Martin Franco, Terre Nash, Anne-Claire Poirier, Françoise Riopelle, Bonnie Sherr Klein et Françoise Sullivan – témoignent des luttes inachevées du mouvement féministe et des brèches qu’elles ont pratiquées dans l’ordre des choses, suscitant des rencontres originales entre l’art et le politiqu
-
Un article de la revue ETC, diffusée par la plateforme Érudit.