Accéder au contenu Accéder au menu principal Accéder à la recherche
Accéder au contenu Accéder au menu principal
UQAM logo
Page d'accueil de l'UQAM Étudier à l'UQAM Bottin du personnel Carte du campus Bibliothèques Pour nous joindre

Service des bibliothèques

3, 2, 1… Action!
UQAM logo
3, 2, 1… Action!
  • Bibliographie
  • Accueil
  1. Vitrine des bibliographies
  2. 3, 2, 1… Action!
  3. Résultats
  • Accueil

Votre recherche

Réinitialiser la recherche

Aide

L’interface de recherche est composée de trois sections : Rechercher, Explorer et Résultats. Celles-ci sont décrites en détail ci-dessous.

Vous pouvez lancer une recherche aussi bien à partir de la section Rechercher qu’à partir de la section Explorer.

Rechercher

Cette section affiche vos critères de recherche courants et vous permet de soumettre des mots-clés à chercher dans la bibliographie.

  • Chaque nouvelle soumission ajoute les mots-clés saisis à la liste des critères de recherche.
  • Pour lancer une nouvelle recherche plutôt qu’ajouter des mots-clés à la recherche courante, utilisez le bouton Réinitialiser la recherche, puis entrez vos mots-clés.
  • Pour remplacer un mot-clé déjà soumis, veuillez d’abord le retirer en décochant sa case à cocher, puis soumettre un nouveau mot-clé.
  • Vous pouvez contrôler la portée de votre recherche en choisissant où chercher. Les options sont :
    • Partout : repère vos mots-clés dans tous les champs des références bibliographiques ainsi que dans le contenu textuel des documents disponibles.
    • Dans les auteurs ou contributeurs : repère vos mots-clés dans les noms d’auteurs ou de contributeurs.
    • Dans les titres : repère vos mots-clés dans les titres.
    • Dans tous les champs : repère vos mots-clés dans tous les champs des notices bibliographiques.
    • Dans les documents : repère vos mots-clés dans le contenu textuel des documents disponibles.
  • Vous pouvez utiliser les opérateurs booléens avec vos mots-clés :
    • ET : repère les références qui contiennent tous les termes fournis. Ceci est la relation par défaut entre les termes séparés d’un espace. Par exemple, a b est équivalent à a ET b.
    • OU : repère les références qui contiennent n’importe lequel des termes fournis. Par exemple, a OU b.
    • SAUF : exclut les références qui contiennent le terme fourni. Par exemple, SAUF a.
    • Les opérateurs booléens doivent être saisis en MAJUSCULES.
  • Vous pouvez faire des groupements logiques (avec les parenthèses) pour éviter les ambiguïtés lors de la combinaison de plusieurs opérateurs booléens. Par exemple, (a OU b) ET c.
  • Vous pouvez demander une séquence exacte de mots (avec les guillemets droits), par exemple "a b c". Par défaut la différence entre les positions des mots est de 1, ce qui signifie qu’une référence sera repérée si elle contient les mots et qu’ils sont consécutifs. Une distance maximale différente peut être fournie (avec le tilde), par exemple "a b"~2 permet jusqu’à un terme entre a et b, ce qui signifie que la séquence a c b pourrait être repérée aussi bien que a b.
  • Vous pouvez préciser que certains termes sont plus importants que d’autres (avec l’accent circonflexe). Par exemple, a^2 b c^0.5 indique que a est deux fois plus important que b dans le calcul de pertinence des résultats, tandis que c est de moitié moins important. Ce type de facteur peut être appliqué à un groupement logique, par exemple (a b)^3 c.
  • La recherche par mots-clés est insensible à la casse et les accents et la ponctuation sont ignorés.
  • Les terminaisons des mots sont amputées pour la plupart des champs, tels le titre, le résumé et les notes. L’amputation des terminaisons vous évite d’avoir à prévoir toutes les formes possibles d’un mot dans vos recherches. Ainsi, les termes municipal, municipale et municipaux, par exemple, donneront tous le même résultat. L’amputation des terminaisons n’est pas appliquée au texte des champs de noms, tels auteurs/contributeurs, éditeur, publication.

Explorer

Cette section vous permet d’explorer les catégories associées aux références.

  • Les catégories peuvent servir à affiner votre recherche. Cochez une catégorie pour l’ajouter à vos critères de recherche. Les résultats seront alors restreints aux références qui sont associées à cette catégorie.
  • Dé-cochez une catégorie pour la retirer de vos critères de recherche et élargir votre recherche.
  • Les nombres affichés à côté des catégories indiquent combien de références sont associées à chaque catégorie considérant les résultats de recherche courants. Ces nombres varieront en fonction de vos critères de recherche, de manière à toujours décrire le jeu de résultats courant. De même, des catégories et des facettes entières pourront disparaître lorsque les résultats de recherche ne contiennent aucune référence leur étant associées.
  • Une icône de flèche () apparaissant à côté d’une catégorie indique que des sous-catégories sont disponibles. Vous pouvez appuyer sur l’icône pour faire afficher la liste de ces catégories plus spécifiques. Par la suite, vous pouvez appuyer à nouveau pour masquer la liste. L’action d’afficher ou de masquer les sous-catégories ne modifie pas vos critères de recherche; ceci vous permet de rapidement explorer l’arborescence des catégories, si désiré.

Résultats

Cette section présente les résultats de recherche. Si aucun critère de recherche n’a été fourni, elle montre toute la bibliographie (jusqu’à 20 références par page).

  • Chaque référence de la liste des résultats est un hyperlien vers sa notice bibliographique complète. À partir de la notice, vous pouvez continuer à explorer les résultats de recherche en naviguant vers les notices précédentes ou suivantes de vos résultats de recherche, ou encore retourner à la liste des résultats.
  • Des hyperliens supplémentaires, tels que Consulter le document ou Consulter sur [nom d’un site web], peuvent apparaître sous un résultat de recherche. Ces liens vous fournissent un accès rapide à la ressource, des liens que vous trouverez également dans la notice bibliographique.
  • Le bouton Résumés vous permet d’activer ou de désactiver l’affichage des résumés dans la liste des résultats de recherche. Toutefois, activer l’affichage des résumés n’aura aucun effet sur les résultats pour lesquels aucun résumé n’est disponible.
  • Diverses options sont fournies pour permettre de contrôler l’ordonnancement les résultats de recherche. L’une d’elles est l’option de tri par Pertinence, qui classe les résultats du plus pertinent au moins pertinent. Le score utilisé à cette fin prend en compte la fréquence des mots ainsi que les champs dans lesquels ils apparaissent. Par exemple, si un terme recherché apparaît fréquemment dans une référence ou est l’un d’un très petit nombre de termes utilisé dans cette référence, cette référence aura probablement un score plus élevé qu’une autre où le terme apparaît moins fréquemment ou qui contient un très grand nombre de mots. De même, le score sera plus élevé si un terme est rare dans l’ensemble de la bibliographie que s’il est très commun. De plus, si un terme de recherche apparaît par exemple dans le titre d’une référence, le score de cette référence sera plus élevé que s’il apparaissait dans un champ moins important tel le résumé.
  • Le tri par Pertinence n’est disponible qu’après avoir soumis des mots-clés par le biais de la section Rechercher.
  • Les catégories sélectionnées dans la section Explorer n’ont aucun effet sur le tri par pertinence. Elles ne font que filtrer la liste des résultats.
Type de ressource
  • Article de revue
Année de publication
  • Entre 2000 et 2025
    • Entre 2020 et 2025
      • 2023

Résultats 9 ressources

Date décroissanteDate croissanteAuteur A-ZAuteur Z-ATitre A-ZTitre Z-A
Résumés
  • Worden, C., & Gjika, A. (2023). Accounting For the Limited Success of #MeToo in the Popular Music and Stand-Up Comedy Industries. Cultural Sociology, 17499755231209366. https://doi.org/10.1177/17499755231209366

    Despite several high-profile cases and years of #MeToo activism, a lack of systemic change and consistent consequences for many alleged offenders has led journalists and fans to wonder when the popular music and stand-up comedy industries will truly have their ‘MeToo moment.’ In this article, we explain that this moment has already arrived, but has produced inconsistent results in these industries due to the unique cultural and structural obstacles they share, and which frustrate civil sphere actors’ attempts at civil repair. Our analysis draws on Jeffrey C. Alexander’s (2018, 2019) theory of societalization – the process by which institutional crises come to be seen as social problems that demand the intervention of civil sphere actors. We argue that where #MeToo and the popular music and stand-up comedy industries are concerned, the process of societalization has been (and will likely continue to be) ‘blocked’ or ‘stalled’ (Alexander, 2018, 2019). We suggest that the potential for societalization is reduced due to a combination of the arts sphere’s anti-civil values and weak institutionalization in the popular music and stand-up comedy industries.

    Consulter sur doi.org
  • Mandradjieff, M., & Alterowitz, G. (2023). Publicizing transgender ballet dancers: a pas de deux of inclusion and reiterative gender norms. Feminist Media Studies, 23(8), 4011–4025. https://doi.org/10.1080/14680777.2022.2149599

    Over the last decade, mainstream media sources from the US and UK have shown an increased interest in topics involving transgender and non-binary populations. Yet, their portrayals of such individuals tend to reaffirm rather than challenge cisnormative ideas surrounding bodies and gender. In this article, we consider this ongoing trend within the highly body-centric, traditionally-gendered artform—classical ballet. With a transgender studies and dance studies lens, we analyze current discourse surrounding the recent move for classical ballet companies and schools to adapt casting and training curricula to better include non-binary dancers. Through these analyses we reveal ways media sensationalizes the transgender body by focusing on information regarding hormone therapy and surgeries, and with the topic of ballet in mind, how this transphobic move becomes intertwined with ballet-specific processes of reshaping the body. We claim that although these popular press pieces contribute to a greater awareness of the lived experiences of transgender and non-binary dancers, they simultaneously reiterate ongoing balletic gender tropes that mark the artform as feminine and designate particular body types and movements to specific binarized genders.

    Consulter sur doi.org
  • Kwon, H. (2023). The art of Jane Orleman: childhood trauma and the discourse of sexual violence. Journal of Gender Studies, 32(4), 394–405. https://doi.org/10.1080/09589236.2022.2064838

    Jane Orleman (American, born 1942) is an artist and a survivor of child sexual abuse. Through paintings she created during therapy, Orleman rejects the gendered and patriarchal binaries between therapeutic art and professional art, which pit the private, feminine, and intuitive against the public, masculine, and intellectual. By analysing selected artworks from Orleman that embody her child self, young woman self, and alternative self, I propose that Orleman reflects on and challenges the pathology of sexual trauma along with the discourse of sexual violence as a political statement. Therefore, I argue that her art deserves to be part of a larger, counternarrative, anti-rape and anti-incest cycle in contemporary American art.

    Consulter sur doi.org
  • McCarry, M., Käkelä, E., Jones, C., & Manoussaki, K. (2023). The sound of misogyny: sexual harassment and sexual violence in the music industry. Journal of Gender-Based Violence, 1(aop), 1–15. https://doi.org/10.1332/239868021X16784676224611

    The cultural and creative industries are the fastest growing industries in the UK (). Stakeholder engagement, media reporting, anecdotal evidence and emerging research suggests that there are endemic levels of sexual harassment and sexualised violence within the music industry that can be described as widespread, systemic and normalised. This article reviews the literature on sexual harassment and sexualised violence in the music industry, examining gender stratifications and inequalities within the music industry with a focus on UK, Australian and US studies. The music industry is not a singular entity but instead, is an agglomeration of many different sub-sectors predominantly consisting of three interconnected spheres of music recording and distribution, music publishing and licensing, and live performance. This paper references Kelly’s (; ; ) theorisations on conducive contexts and the continuum of violence to argue that historical and entrenched misogyny and sexism along with the lack of regulation, process and governing frameworks create conditions for both the maintenance of gender inequality and the perpetuation of sexual harassment and sexualised violence within the music industry. Consequently, both the cultural context and the practice of misogyny (in this case sexual harassment and sexualised violence) within the music industry are mutually supporting and reinforcing.

    Consulter sur bristoluniversitypressdigital.com
  • Blais-Tremblay, V., & Champagne, L. (2023). Au-delà des « vagues » #moiaussi : cinq ans de mobilisation féministe en musique au Québec (2017–2022). Intersections, 40(1), 49–75. https://doi.org/10.7202/1096479ar

    Cet article dresse le portrait de cinq organisations qui militent pour l’équité en musique au Québec depuis 2017 : MTL Women in Music, Femmes* en Musique, Lotus collective MTL Coop, shesaid.so MTL et le réseau DIG! Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec. En s’inscrivant d’abord dans la longue lignée des travaux critiques en historiographie féministe, l’article rend compte de la pluralité des mobilisations féministes et ce, au-delà des « vagues » #moiaussi qui ont ponctué l’actualité musicale québécoise au cours des cinq dernières années (2017–2022). Dans la seconde partie, les autrices détaillent les travaux du réseau D!G , lancé en avril 2021 par Vanessa Blais-Tremblay, et présentent des retombées initiales prometteuses à la fois pour le milieu universitaire et pour les milieux de pratique en ce qui concerne l’épistémologie et les méthodologies de la « musicologie partenariale collaborative féministe ». , This article profiles five organizations that have been advocating for equity in Quebec music since 2017 : MTL Women in Music, Femmes* en Musique, Lotus collective MTL Coop, shesaid.so MTL and D!G Différences et inégalités de genre dans la musique au Québec. In line with a long tradition of critical work in feminist historiography, the authors first account for the diversity of feminist mobilizations in Quebec music beyond the #metoo “waves” which have received significant media attention over the past five years (2017–2022). In the second part, the authors detail the development of the D!G network, a feminist collaborative research partnership launched in April 2021 by Vanessa Blais-Tremblay, and its contributions to both Quebec’s music industry and to feminist partnership research epistemologies and methodologies.

    Consulter sur id.erudit.org
  • Failler, A. (2023). Unsettling homocolonial frames of remembrance: Two-Spirit and Indigiqueer interventions at the museum. Memory Studies, 16(1), 12–31. https://doi.org/10.1177/17506980221144545

    This article considers a Two-Spirit and Indigiqueer protest at the Canadian Museum for Human Rights as a flashpoint that exposes problems with how memory-making institutions are incorporating lesbian, gay, bisexual, trans and queer issues into their programming and/or collections. The protest brings into relief the museum’s investment in a homocolonial framing of remembrance for the way in which the telling of lesbian, gay, bisexual, trans and queer ‘progress’ is entangled with a settler colonial political economy wherein the tokenistic inclusion of some queers into the sexual citizenry happens alongside the dispossession, devaluing and criminalizing of others. I then undertake some preliminary ‘curatorial dreaming’ upon two other interventions–commentaries uploaded to a digital story bank by a Two-Spirit and an Indigenous queer museumgoer, and the short film Woman Dress by Plains Cree artist TJ Cuthand. Along with the protest, the commentaries and the film unsettle homocolonial frames of remembrance and provide critical openings towards decolonial queer memory work at the museum.

    Consulter sur doi.org
  • Crowley, J. E. (2023). Challenging gendered power: How sexual harassment perpetrators respond to victim confrontation. Gender, Work & Organization, 30(1), 112–128. https://doi.org/10.1111/gwao.12906

    Sexual harassment is a problem that continues to plague mostly women in the American workforce today. One tool that victims can use in these situations is confrontation, either through verbal or physical means. Yet, understudied to this point is how perpetrators respond to confrontation, which is highly salient as to whether this is an effective tool for victims. This study uses grounded theory methods to analyze 31 accounts of sexual harassment from within the fashion industry that recorded perpetrators' responses to victim confrontation to clearly unwanted, abusive behavior. I argue that specific features of the fashion industry, or a “display work culture,” embolden perpetrators to effectively thwart any type of confrontation. Indeed, this study finds that these predominantly male perpetrators of sexual harassment moved to reassert their dominant position over their female victims in the moment of confrontation, immediately after being confronted, and even later, well beyond confrontation, as they aimed to reestablish normal business practices as usual. This research thus dispels a significant sexual harassment myth that victims working within this culture are able to stop perpetrators simply by speaking up and/or fighting back and points to the need for the development of sexual harassment theory to incorporate work culture-related risk factors and remedies.

    Consulter sur onlinelibrary.wiley.com
  • Quemener, N. (2023). Que reste-t-il de nos humours ?À la recherche d’un rire de gauche. Revue du Crieur, 22(1), 126–141. https://doi.org/10.3917/crieu.022.0126

    Les enjeux liés aux luttes menées par les personnes trans’ sont une parfaite illustration du fait que la visibilité ne suffit pas et qu’elle peut même parfois se révéler préjudiciable. En effet, depuis quelques mois, la presse, la télévision, la radio s’agitent dès qu’une actualité touche de près ou de loin à la transidentité. Actuellement, les voix des trans’ sont encore trop souvent couvertes par les discours cis’, lesquels tendent également à délégitimer les savoirs produits par et pour des trans’. Il est grand temps de retourner la lunette : au lieu de scruter les personnes trans’ – leur transition –, il est urgent de les lire et de les écouter. Ces expériences-là ont certes des choses à apprendre aux personnes cis’ : bien sûr que l’on comprend mieux ce qu’est le genre face à des personnes qui ont fait l’expérience de quitter celui qui leur a été assigné à la naissance, bien sûr que cela rend plus insupportable encore la rigidité des normes de genre, binaires et arbitraires jusqu’à l’absurde. Mais au-delà de ce que les cis’ peuvent apprendre des trans’ pour mieux se comprendre elles-mêmes et eux-mêmes, au-delà de cette lecture instrumentale, il s’agit désormais de laisser les marges parler. Il s’agit de se concentrer sur les luttes sociales, les revendications portées par les personnes trans’ et les associations, de défendre les conditions matérielles d’existence des trans’, de lutter contre les nombreuses discriminations qui pèsent encore sur elles et eux, y compris contre celles qui limitent drastiquement leur accès aux positions permettant de produire légitimement du savoir, il s’agit de les laisser libres de définir leurs cadres de pensée et la manière dont ils, elles, iels souhaitent parler ou pas de leurs parcours. De les laisser, enfin, écrire leur histoire.

    Consulter sur www.cairn.info
  • Trusolino, M., & Ships, D. (2023). Comedy’s double killjoy: workers’ DIY strategies to address harassment and precarity in the comedy industry. Feminist Media Studies, 1–13. https://doi.org/10.1080/14680777.2023.2229055

    Since 2017, the #MeToo movement has highlighted gender-based violence and harassment in the comedy industry, where those comedians affected have little to no workplace infrastructure to lean on. Because comedy clubs are described as venues rather than sites of work, comedy workers are not technically employees and are not protected by workplace safety laws nor supported by professional organizations or unions. We argue that the lack of a formal workplace and its related precarity exacerbates violence against women, queer, transgender, disabled, and/or workers in the Canadian and American comedy industries, pushing comedy workers to enact do-it-yourself workplace safety strategies to protect themselves and one another. We describe these protective, caring activities as akin to Brenda Parker’s “double killjoy,” and push our understanding of creative work into places of public resistance and life-making.

    Consulter sur doi.org
RIS

Format recommandé pour la plupart des logiciels de gestion de références bibliographiques

BibTeX

Format recommandé pour les logiciels spécialement conçus pour BibTeX

Flux web personnalisé
Dernière mise à jour depuis la base de données : 07/06/2025 06:25 (UTC)

Explorer

Secteurs de la culture

  • Arts visuels (2)
  • Danse (1)
  • Humour et improvisation (1)
  • Mode (1)
  • Musique (1)

Type de ressource

  • Article de revue

Année de publication

  • Entre 2000 et 2025
    • Entre 2020 et 2025
      • 2023

Explorer

UQAM - Université du Québec à Montréal

  • 3, 2, 1… Action!
  • Nous joindre

Accessibilité Web